La sorgente di Levico - L'acqua che cura
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L’eau de Levico et le combat pour le milieu
"Les patients qui recourent à la médecine anthroposophique ont quelque chance d’entendre un jour parler de l’eau de Levico. Mais ce phénomène naturel suscite un intérêt particulier quand on l’approche de près, par exemple… quand on s’y baigne régulièrement !
C’est dans ce contexte de cure thermale à Roncegno (Italie) que j’ai pu entendre une conférence donnée par le Dr Stefano Gasperi le 4 octobre 2017. Bien connu des membres de la Société anthroposophique suisse pour ses interventions très appréciées lors des congrès annuels 2016 et 2017, le conférencier est un des médecins intervenant dans la Casa di Salute Raphael. Entre ses recherches et la pratique à Roncegno, il a pu livrer à un public plus qu’attentif, des connaissances et un éclairage de haute qualité sur cette eau mystérieuse secrétée par les roches des Dolomites."
Patricia Alexis
De la Sagesse immémoriale à la science moderne
L’image de Raphaël comme guérisseur remonte aux civilisations préchrétiennes. Son attribut, le caducée, atteste d’une antique connaissance de la nature humaine, laquelle se fonde sur une oscillation constante autour d’un centre. Ce mouvement se fige-t-il chez un être humain, et c’est la maladie qui apparaît.
Un processus comparable a commencé à saisir l’humanité depuis le 15e siècle. Pour preuve de cette “maladie” de civilisation, le Dr Gasperi a cité le destin particulier d’un philosophe et humaniste italien, Pic de la Mirandole (1463-1494). Auteur à 24 ans d’un ensemble de 900 thèses, ce Romagnole 1 a entrepris non seulement de réunir les principales doctrines philosophiques et religieuses accumulées par l’humanité et connues à son époque (notamment le platonisme, l’aristotélisme, la scolastique), mais il a voulu les proposer à la discussion de ses contemporains. Le fait qu’après sa mort, tous ses écrits furent brûlés pour hérésie 2, ne change rien à l’importance de son œuvre. Qu’on en juge par cet aphorisme, “Oratio de hominis dignitate”, qu’il avait composé pour introduire ses 900 thèses :
“Ô Homme, nous ne t’avons donné ni une place déterminée, ni une physionomie propre, ni aucun don particulier, afin que la place, la physionomie, les dons que toi-même tu aurais souhaités, tu les aies et tu les possèdes selon tes vœux, selon ta volonté. Pour les autres, leur nature définie est régie par des lois que nous avons prescrites ; toi, tu n’es limité par aucune barrière, c’est de ta propre volonté, dans le pouvoir de laquelle je t’ai placé, que tu détermineras ta nature. Je t’ai installé au milieu du monde afin que de là tu examines plus commodément autour de toi tout ce qui existe dans le monde. Nous ne t’avons fait ni céleste ni terrestre, ni mortel ni immortel, afin que, maître de toi-même et ayant pour ainsi dire l’honneur et la charge de façonner et de modeler ton être, tu te composes la forme que tu aurais préférée. Tu pourras dégénérer en formes inférieures qui sont démoniaques, tu pourras, par décision de ton esprit, être régénéré en formes supérieures qui sont divines.”
La comparaison avec la vision que la science moderne a de l’essence humaine – limitée à des mécanismes physiques – est instructive…
Pourtant, il suffit de considérer sans préjugé n’importe quel phénomène de la nature humaine pour se convaincre que notre façon de voir aujourd’hui est unilatérale, sinon malade. Le phénomène du flux sanguin, pour reprendre l’exemple donné par le Dr Gasperi, nous dit : si le sang coule sans arrêt d’une blessure, il ne peut plus assurer la vie. S’il se bloque à l’intérieur, c’est un ictus mettant aussi la vie en danger. Écoutons la sagesse du langage : le “remède” qui vient du latin “remedium” est littéralement “ce qui remet au milieu”. Le médicament des germanophones s’appelle “Heilmittel” ou en traduction littérale, le “moyen/milieu guérisseur” !
Petite histoire de l’eau de Levico
Selon les panneaux touristiques de Roncegno, la découverte anecdotique de l’eau de Levico date de 1859. Elle est vite devenue célèbre dans le monde entier, et ce jusqu’au début du 20e siècle. Les soldats engagés dans les conflits de l’époque recevaient leur dose de cette eau bienfaisante ! Aujourd’hui, pour une question de délai administratif dépassé, il n’existe plus de licence pour la commercialiser.
Bien que la région de Levico, jadis appelée Sud-Tyrol, fît partie à l’époque de l’empire austro-hongrois 3, Rudolf Steiner ne connaissait pas son eau thermale. La première personne qui lui en a parlé a été le Dr Emil Schlegel, un homéopathe à Tübingen qui avait Marie Steiner parmi ses patients.
Cette région du Valsugana qui court à travers les massifs préalpins et leurs nombreux cols, assure depuis longtemps le lien entre la tête et le pied de l’Italie. Depuis longtemps aussi, on y a extrait et travaillé le cuivre et le soufre. Il semble que l’eau de Levico ait été découverte, au Moyen-Âge, dans ce contexte d’exploitation des ressources locales par des familles venues des pays germanophones limitrophes (les autochtones ayant été décimés par la peste).4 Notons que cette époque s’est terminée au 16e siècle avec un événement historique décisif pour l’avenir de l’Europe : le concile de Trente a décidé de séparer les pays catholiques et protestants.
Poursuivant ce fil rouge du combat pour le milieu à contre-courant du processus – encore très actuel – de la séparation, le Dr Gasperi a présenté la polarisation géologique du lieu en citant le quartz dont la nature lumineuse, rayonnante, se démarque des masses calcaires, opaques et “absorbantes”. Ce sont ces forces périphériques et ces forces centripètes qui ont permis, par leur rencontre dans le sol du Valsugana, l’apparition de très nombreux minéraux.
L’eau de Levico vue de près
À l’époque florissante de Roncegno, de 1886 jusque vers 1930, de nombreux médecins de l’Université de Vienne se sont rencontrés et ont fait des recherches scientifiques sur l’eau de Levico. Déjà à l’époque, la liste des pathologies qu’on pouvait traiter avec succès était impressionnante : anémies et autres maladies du sang, maladies “des femmes”, maladies nerveuses, maladies de la moelle épinière et paralysies partielles, maladies de la peau, maladies du système digestif, maladies rhumatismales, etc. Jusqu’à aujourd’hui, on ne cesse de l’analyser, de la “disséquer” pour tenter de définir ses propriétés. Pourtant, personne n’a encore pu expliquer par exemple pourquoi cette eau, si transparente à la source, devient fangeuse, d’un brun fortement rougeâtre, quand elle arrive dans les baignoires mélangée à l’eau ordinaire. Essayons de suivre le Dr Gasperi dans son exposé et de s’ouvrir avec lui, sans dédaigner le microscope, sur la réalité vivante de l’eau de Levico.
L’eau du milieu
Roncegno est l’un des nombreux lieux de résurgence de l’eau de Levico. Sa source se situe sur le lieu-dit Vetriolo. Entre des strates de pyrite courent des couloirs débouchant dans des concavités, sortes de marmites recueillant l’eau. En effet, les strates supérieures sont pénétrées par l’eau provenant de la pluie ou de la neige, jusqu’aux couloirs, là où elle peut entrer en contact avec les strates inférieures de pyrite (qui est du sulfite de fer). Peu à peu, l’eau dissout tous les constituants du sol. Le soufre qui n’apparaît qu’en présence d’humidité, représente la première métamorphose de la pyrite, sous forme d’acides sulfuriques. La pyrite est “dévorée”, les acides à leur tour dissolvent beaucoup d’autres minéraux grâce à la présence de l’humidité, des bactéries, etc. et l’on arrive, en fin de cette chaîne, à l’apparition d’oxygène. L’eau de Levico est ainsi liée à l’apparition la plus primitive de la vie, comme cela a eu lieu il y a des millions d’années sur la terre encore privée de vie animale et humaine !
Les scientifiques ont découvert la composition chimique de l’eau de Levico : beaucoup de fer (dont 90% de fer terrestre, “vivant”), puis du cuivre, de l’aluminium, du manganèse, du calcium, du magnésium, du potassium, etc., mais ils ne comprennent pas l’action de l’ensemble. Reconnaître qu’un être vivant n’est pas seulement la somme de ses parties est le seul moyen de comprendre par exemple pourquoi, dans cette eau fortement minéralisée, les minéraux restent à l’état soluble 5.
C’est ce qu’a fait Rudolf Steiner, encore que d’une façon très lapidaire, dans le premier cours aux médecins marquant la naissance de la médecine anthroposophique 6. Il a proposé d’étudier cette eau dans son contexte, c’est-à-dire dans une optique qualitative : l’eau de Levico est comme un être dans lequel Fer (Fe) et Cuivre (Cu) se trouvent en polarité et se compensent l’un l’autre.
Cette polarité et cette intimité étaient connues des anciens artistes : le couple Aphrodite-Mars dans la Grèce antique, Vénus et Mars dans le tableau éponyme de Botticelli ou dans celui de Giorgione (“La Tempesta”)7.
Or, le monde moderne qui exploite tant ces deux métaux, aurait aussi grand besoin de connaître leur métamorphose. C’est une légende locale, recueillie par le Dr G. de Massarellos, médecin thermal de la Belle Époque des eaux de Levico 8, qui va nous permettre de comprendre ce que le conférencier a voulu poser là comme perspective d’avenir. Cette légende parle du roi Frawort (du nom d’une montagne volcanique près de Roncegno) dont chacun des trois fils – ayant œuvré dans le monde en usant de façon trop unilatérale de ses pouvoirs particuliers –, a provoqué des désastres. Rappelés par leur père et enfermés dans une grotte souterraine, les trois frères Cypriano (Cu), Sidero (Fe) et Kobolt (As, arsenic noir) ont uni leurs larmes de repentir pour faire surgir l’eau guérisseuse.
Or, qu’est-ce que le cuivre ? C’est le pas fait par la nature pour passer de la plante à l’animal. En effet, 700 espèces animales, les plus primitives, ne respirent pas par la présence de fer (hémoglobine) mais par celle du cuivre. Grâce au cuivre, la matière a pu être pénétrée d’air pour la première fois, c’est-à-dire recevoir une vie intérieure, une âme. Le Dr Gasperi a donné l’exemple de l’organisme d’une femme enceinte, lequel doit produire beaucoup de cuivre. Aucun embryon ne se développerait dans un milieu trop riche en fer. Le lait maternel est lui aussi riche en cuivre, c’est-à-dire qu’il permet au nourrisson de ne pas rentrer trop vite dans le règne animal.
À l’image de l’être humain
Dans le tableau de Giorgione cité plus haut, on voit à droite une femme assise allaitant son enfant – douceur, rondeur, processus de construction, de naissance. À gauche se tient debout, bien droit et te-nant un long bâton fiché en terre, un Mars en figure de berger – verticalité, processus de déconstruction, de mort. Ainsi, “La Tempesta” nous dit : le pôle Cu doit être équilibré pour permettre l’avènement de la conscience : c’est le processus d’oxydation du Fe.
L’eau de Levico réunit les pôles Fe et Cu. Le monde entier est bâti sur le principe de la polarité, mais de façon vivante, en équilibre, en rencontre rythmique – il ne s’agit en aucun cas d’une polarisation, d’une séparation. Cette vie, elle se manifeste dans l’eau de Levico : la troisième substance importante et acti¬vant cette rencontre rythmique Cu/Fe est l’arsenic (As). La science l’analyse comme ayant une part métallique et une part semi-métallique. Selon Rudolf Steiner, ces trois substances sont les trois métaux de l’incarnation humaine. À partir de l’existence végétale, elles ont fait apparaître les animaux inférieurs, puis supérieurs, puis ceux porteurs d’un Moi. L’essence porteuse d’esprit, l’être humain, leur doit son avènement sur terre !
Le fruit d’une recherche
Les recherches du Dr Gasperi l’ont amené, à ce point, à une découverte d’importance. En observant le processus vécu par l’homme en son centre, on trouve les organes du rythme, poumons et cœur, l’admirable rune de la vie. Mais si on regarde de plus près la vie interne des cellules, on doit se poser une question assez étrange : quand a-t-on besoin de la respiration ?
La grande chaîne de la vie, dépendante du souffle et du sang, est en effet marquée par le cata-bolisme : des éléments s’y trouvent constamment et totalement détruits par suite de la rencontre entre le fer et le sang. C’est le cytochrome (chaîne d’oxydation cellulaire) étudié par la science ou, en langage plus imagé, le “Golgotha” en l’homme. Or, à la fin de cette chaîne de la vie, mais qui porte en elle le processus de mort que représente le catabolisme, on trouve le cytochrome C (cytochrome terminal) dont la particula¬rité est de ne pas contenir de fer, mais… du cuivre ! Sans cette fin inattendue de la chaîne vitale, l’homme mourrait. Ce cytochrome est la base de notre existence.
Un remède plus qu’universel
Dans les années 20 du siècle dernier, un éminent docteur de Bologne a passé ses vacances à Roncegno. Il publia en 1922, à Rome, un rapport avec une liste impressionnante de maladies traitables avec l’eau de Levico. Bien entendu, chaque source thermale en Europe offre un principe actif connu pour soigner tel ou tel problème de santé. Mais à Roncegno, la médecine anthroposophique découvre un nouveau concept de la maladie : toutes les pathologies sont la conséquence d’une perte d’équilibre par rapport au milieu, au centre de la nature humaine. Dans le langage imagé de la science spirituelle, on peut dire aussi : toute maladie provient d’une prise de pouvoir excessif de la nature “oiseau” (organisation neuro-sensorielle) ou de la nature “serpent” (organisation métabolique) de l’homme.
La thérapie est ainsi une remise en dialogue de deux pôles en déséquilibre plutôt qu’un combat contre un symptôme. L’alchimie de la nature humaine nous le montre : l’arsenic répète le geste du corps astral. Il a en lui un élément catabolique lié à la conscience et un élément anabolique lié aux processus vitaux (voir le schéma). C’est pourquoi il est capable de faire le médiateur entre l’homme neuro-sensoriel (pôle du fer) et l’homme du métabolisme (pôle du cuivre), entre l’oiseau et le serpent. Voilà la différence essentielle avec les médicaments de la médecine universitaire, qui, malgré ses progrès impressionnants au bénéfice du diagnostic et de la chirurgie d’urgence, ne sait qu’atteindre un seul point, un seul symptôme.
Or, cette situation concerne également tous les problèmes que la vie moderne nous pose aujourd’hui. L’invasion des forces de vie par les forces destructrices va croissant : consommation d’antibiotiques, usage des vaccins, etc. du côté de la médecine. Et du côté de la pédagogie, l’éducation tend à devenir intellectuelle d’une façon toujours plus malsaine parce qu’en déséquilibre avec les autres aspects (senti¬ment, volonté) de la nature humaine. À propos de ces tendances inquiétantes, on peut sans exagérer parler de la “peste des temps nouveaux” : les jeunes sont toujours plus nombreux à ne pas savoir quoi faire dans leur vie, ce qui va de pair avec des maladies, en forte croissance, du système immunitaire, tout comme la hausse indéniable des problèmes psychiques d’identité.
Le grand problème de la vie aujourd’hui, et qu’il est urgent d’identifier, est la séparation à tous les niveaux. En Europe, un couple se sépare chaque seconde, constatent les statistiques.
L’art de la médecine
Une impulsion qui commence depuis quelques décennies à être bien connue dans le monde, est le point du vue du Dr Antonowski 9 : il s’intéresse en priorité à ce qui tient ou rend l’homme en bonne santé, au lieu de se crisper sur la pathologie (qu’est-ce qui rend l’homme malade ?).
Si le médecin a compris que la guérison s’obtient par des processus d’intégration et non de destruction, alors il doit devenir pour ainsi dire un artiste !
Le Dr Gasperi a donné l’exemple d’une telle œuvre d’art, créée par Rudolf Steiner pour les pharma-ciens : une substance composée de Primula (primevère), d’Onopordon (chardon) et d’Hyoscyamus (jusquiame), exactement dans le même rapport de polarité équilibrée que l’eau de Levico présente entre Fe-Cu, et As comme élément médian. Ce remède, le Cardiodoron bien connu pour rééquilibrer l’instabilité circulatoire, met en relation une substance telle que la primevère (pour le pôle “oiseau”) avec le chardon (pour le pôle “serpent”), une relation rendue vivante par la substance médiane de la jus¬quiame (plante extrêmement vénéneuse, se développant de façon très rythmique).
À l’instar de cette œuvre d’art de la pharmacopée anthroposophique, l’eau de Levico – pour autant qu’on la comprenne dans sa globalité – peut aider à la découverte de nouveaux médicaments. C’est en tout cas ce que suggère Rudolf Steiner dans la 12e conférence du premier cours aux médecins. Car cette eau de Levico est elle-même le résultat d’une “intuition” de la nature, laquelle connaît l’homme dans son essence tout entière. Elle montre comment tenir ensemble toutes les substances naturelles en solution.
Comme il existe la pyrite contenant en elle pour ainsi dire “l’alpha et l’omega” du monde minéral, il existe sur terre un seul être vivant totalement ouvert au mystère de l’évolution et de l’avenir : l’être humain. Il porte en lui le secret de la métamorphose de soi et de la matière, dont le processus essentiel est l’intégration et l’harmonie.
- Son lieu de naissance, Mirandola, situé près de Modène, fait actuellement partie de l’Émilie-Romagne, mais appartenait à l’époque aux États pontificaux.
- On lui reprocha cette pensée de la convergence de tous les systèmes philosophiques et religieux vers le chris¬tianisme.
- Cette région est actuellement italienne, mais autonome, et porte le nom de Trentin Haut-Adige.
- Dans le livre du Prof. C. Melori, “Guida ai bagni salutari delle acque minerali rameico-ferruginoso-arsenicali di Levico …”, vraisemblablement de 1883, on peut lire que “la source était connue et utilisée à des fins thérapeu¬tiques, certainement depuis le 15e ou le 16e siècle (premiers témoignages écrits datant du Concile de Trente)”. On y trouve aussi confirmation des précisions historiques données par le Dr Gasperi à propos du Sud-Tyrol : “Il s’agit d’un lieu de passage et d’interpénétration de courants de civilisation très différents voire polaires (essentiellement germains et latins).”
- L’arsenic par exemple, dont la présence dans l’eau de Levico a été reconnue officiellement en 1816, et dont la forme minérale solide est le cobalt (C. Melori, “Guida ai bagni salutari…”).
- GA 312, “Médecine et science spirituelle”, EAR 1978.
- La Tempête est un tableau de Giorgione daté entre 1500 et 1510. Il est donné comme étant la première peinture de paysage. L'œuvre est conservée aux Gallerie dell'Accademia de Venise.
- Cité par le Prof. C. Melori, voir note 4.
- Aaron Antonowsky (1923-1994) a fondé la recherche scientifique de la salutogénèse, comme chemin parallèle et complémentaire de la pathogenèse.